Des kibboutzim et des Moshavim transformés en zones résidentielles.

Cette initiative est l’une des mesures les plus importantes prises par le gouvernement ces dernières années. Notamment pour tenter d’accroître rapidement le nombre d’appartements. Le retour des terres agricoles des kibboutzim et des moshavim à l’État afin de les transformer en zones résidentielles.

L’une des clauses permettant aux communautés de vendre leurs droits fonciers à des promoteurs immobiliers privés a rendu le processus extrêmement utile pour les deux parties.

Lire aussi : Yeruham : future capitale du cannabis en Israël

De plus en plus de kibboutzim et de moshavim ont engrangé des dizaines de millions de shekels au cours des dernières années. En vendant des droits de construction d’un certain pourcentage de leurs terres agricoles aux promoteurs immobiliers. Des centaines de logements devraient être construits dans ces régions.


Quelques exemple:

En novembre 2018, le promoteur Aura a réalisé une transaction en acquérant des droits de constructions sur le terrain du Moshav Ben Shemen. Et ce, pour un montant de 45 millions de NIS. Particulièrement, dans une zone pouvant accueillir 500 unités résidentielles.

Le groupe Almog, quant à lui,  a signé un accord avec Moshav Beit Nehemia le 19 décembre pour la création de 180 logements pour 180 millions de NIS.
En janvier 2017, la société a conclu un accord avec l’association coopérative d’agriculteurs de Beer Yaakov, portant sur la construction de 290 logements à West Ramla, en échange de 27,7 millions d’euros…

Si vous aussi vous souhaitez rester informés sur les opportunités à saisir sur le marché du terrain en Israël, contactez-nous.