Le tribunal a approuvé la vente du terrain situé entre Hayarkon Street et Herbert Samuel après une longue dispute entre les propriétaires. Le groupe Ofer Investissements a prévu d’y construire une tour jumelle est prévue pour le projet  »Herbert Samuel 10 ».

Le tribunal de première instance de Tel-Aviv a approuvé mardi la vente d’un terrain prestigieux dans la rue Hayarkon à Tel-Aviv. Le juge Amit Yariv a accepté la plainte déposée par certains des propriétaires fonciers pour la dissolution d’un partenariat entre les propriétaires, qui ne sont parvenus à aucun accord pendant plus de dix ans. Sur le terrain, un plan de construction de la ville a été approuvé pour la construction d’une tour résidentielle de 15 étages et de 70 appartements, couvrant 10 000 mètres carrés de zones principales et de zones de service,  selon des experts de l’immobilier, susceptible d’être vendu entre 250 et 250 millions de NIS.

Les terrains vacants disponibles pour la construction sur les routes Herbert Samuel et Hayarkon sont considérés comme les plus attrayants pour les logements et les hôtels, et les appartements résidentiels, atteignant les prix les plus élevés au mètre carré à Tel Aviv. Gabi Taman, un homme d’affaires canadien, a acheté à Liora Ofer un mini-appartement au 19ème étage pour 47 millions de NIS En 2014, l’entrepreneur juif canadien Sylvain Adams a acheté un appartement aux étages 20 à 21 sur un terrain de 1 000 mètres carrés, pour 120 millions de shekels.

L’autre projet est le projet Sea One, qui comprend également le Royal Beach Hotel, établi par Electra avec Oranim, dans lequel l’oligarque Valerie Kogan a acheté en 2009 un appartement-terrasse situé au 22ème étage pour 110 millions de NIS.

Le terrain pour lequel le tribunal s’est prononcé, d’une superficie de 6,4 dounams, est situé entre les rues Hayarkon à l’est, Nehemia au nord, Daniel au sud et Herbert Samuel à l’ouest. En 1997, deux terrains ont été approuvés pour la construction de deux tours résidentielles. Sur le terrain adjacent, Ofer Investments a mis en place le prestigieux projet Herbert Samuel 10, tandis que sur le terrain en question, la construction n’a pas encore été réalisée en raison du grand nombre de propriétaires privés qui n’ont pas encore décidé comment concrétiser leurs droits sur le terrain.

En janvier 2017, certains propriétaires fonciers ont déposé une demande de liquidation conjointe, déclarant que « malgré la disponibilité immédiate d’un projet sur le terrain, le plan ayant été approuvé à ce jour depuis plus de 13 ans, les propriétaires du terrain n’ont pas été en mesure de réaliser l’aménagement du terrain. En raison de la multiplicité des charges lourdes et des tentatives infructueuses menées au fil des annéss « , déclare le procès. « Cette situation cause de sérieux dommages aux plaignants et même aux défendeurs, ainsi qu’à leur capacité à exploiter leurs droits de propriété sur le terrain, et ne met pas à jour les tendances en matière de planification dans la région telles qu’exprimées dans le plan », ont ajouté les plaignants.

Comme il a été indiqué, le juge Amit Yariv, du tribunal de première instance de Tel-Aviv, a décidé d’approuver la demande et a décidé que la liquidation de la société serait réalisée en vendant le lot au plus offrant, ou à l’un des propriétaires qui achèterait les droits restants, ou par un acheteur extérieur. En outre, Yariv a rejeté la demande de certains propriétaires fonciers selon laquelle le futur acheteur devrait être tenu de s’engager avec certains des détenteurs de droits dans une transaction combinée (fourniture de services de construction), car une telle obligation pourrait réduire l’attrait de la transaction dans son ensemble. Par conséquent, Yariv a déterminé que le terrain devrait être vendu sans aucune obligation, car cela n’empêchait pas les propriétaires du droit à la terre de conclure un contrat avec le futur acheteur.

L’homme d’affaires Eli Tamir et les sociétés qu’il dirige possèdent près de la moitié des droits, mais le reste du terrain est détenu par des dizaines de propriétaires privés, dont certains sont représentés par l’avocat Maimon Avitan, qui représentait les plaignants Shlomi Bracha et Doron Rosenblum de Bracha, Rosenblum , Champs.

Le prix d’un terrain en Israel peut atteindre des prix démesuré, son prix est fixe de plusieurs manières :

  •  Par le prix du foncier du secteur ou de la rue
  • Le permis de construire et le taux de construction
  • La demande dans le secteur
  • la rareté du bien

Autrefois , le terrain ne valait guère grand chose , le prix même des vieux  appartements assembles ne dépasse pas les 30 % de la somme , uniquement le terrain est prioritaire dans le prix .

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