En effet, le gouvernement ne libère pas de terres et projet de faire réduire les prix de l’immobilier ne fonctionne pas. De plus, les parcelles coûtent chères !

En raison de la pénurie d’entreprises de construction sur le terrain, les prix des terrains ont augmenté, en particulier dans les zones de demande.

Le groupe international, Reality Fund, a acheté une zone constructible pour 37 millions de NIS. En outre, il a changé son statut de  » zone commercial  » a zone résidentiel pour les propriétés résidentielles.

Les terres privées sont résidentielles et constamment évaluées à la hausse. Reality Estate Fund, a acquis une parcelle de terrain de Dan Housing à Tel-Aviv pour 37 millions de NIS en 2013. Il a vendu à Shikun & Binui Real Estate Arison au alentour des 87 millions de NIS, cette semaine.

Pourquoi cet échec pour faire réduire les prix de l’immobilier?

Pourquoi ne pas réduire le prix de l'immobilier?

Les parcelles coûtent chères

Ces dernières années, aucune réserve foncière significative n’a changé de main pour la construction de logements dans le Gush Dan. Ce secteur, caractérisé par la construction de maisons et villas, se voit privé de terrains.

L’affaire se situe sur la rue Tavuot HaAretz 5, bordée au nord par la rue Ibn Sapir et à l’Est par l’école Ironi Yud. Notamment, installée au cœur d’un quartier résidentiel.

Les sociétés ont acheté la parcelle conjointement et à parts égales en décembre 2013 auprès d’un groupe d’investisseurs sud-africains pour 37 millions de NIS. C’était après que le bâtiment mis en vente à plusieurs reprises, n’ai pas reçu d’offre d’achat. Principalement en raison du grand nombre de titulaires de droits, ce qui compliquait le processus d’achat.

Depuis peu, presque toutes les terres d’État commercialisées par l’Autorité Foncière Israélienne demeurent consacrées à la vente aux enchères de logements (Mehir Lemichtaken).

Selon la politique du ministre des Finances, Moshe Kahlon, les prix des terrains privés atteignent des prix inimaginables.

Dans la région de Shikun Dan, aucune nouvelle construction importante n’a été enregistrée au cours des dernières années. À l’exception d’un projet actuellement commercialisé par Acro Real Estate dans le complexe Kitan Centre. Celui-ci comprend la construction de grands quartiers résidentiels, soit environ 190 appartements.

Pour réduire les prix de l’immobilier il faut injecter plus de terrains.

Un des gros problèmes en Israël est le manque de terrains constructifs. Ce manque de terres résidentielles, se fait ressentir de plus en plus surtout autour des villes et autres agglomérations du pays. Les terrains agricoles en Israël restent gelés. Plus precisement, ces terrains ne peuvent pas changer de désignation en principe . Mais peu à peu, ceux entourant les villes et agglomérations voient quand même leur désignation changer en terrains constructibles. Car on ne peut pas arrêter l’expansion des cités urbaines qu’on le veuille ou non. Il faut de la place pour que les citoyens trouvent où se loger, et comme la population augmente, le besoin en habitations augmente dans la même mesure.

Depuis quelques années l’achat de terrains agricoles en Israël se fait plutôt comme investissement spéculatif. Pour plus de précision, les investisseurs achètent des terrains agricoles à des prix competitifs et les conservent en l’état. Lorsque ces terrains obtiennent une nouvelle désignation et deviennent constructibles, ils peuvent les revendre avec une très grosse plus-value.

Il faut néanmoins faire attention à certaines choses.

La première est d’examiner les plans pour les terrains en question, ce qu’il est possible de faire en passant par les commissions de construction et de planifications des organismes, en commençant par les locaux (mairies) puis les régionaux et pour finir les nationaux. Pourquoi les examiner ? Pour savoir s’il y a une chance ou non qu’ils puissent prochainement devenir comme terrains constructibles.

Toutes les terres ne peuvent pas forcement devenir construtives. Certaines resteront obligatoirement des terrains agricoles, d’autres des terrains protégés au niveau national. Enfin, d’autres encore ont des spécifications différentes.

La deuxième chose à vérifier est l’emplacement des terrains. Sont-ils près d’une ville ou d’une localité urbaine quelconque ? Si la ville ou la localité veut s’agrandir devra-t-elle forcément passer par ces terrains ou a-t-elle d’autres possibilités d’expansion, par exemple dans une autre direction ?

Troisièmement vérifier s’il y a des facteurs qui pourraient empêcher les terrains d’être redésignés, comme par exemple s’ils se trouvent à proximité d’une route, d’une rivière, d’une réserve naturelle, d’une base militaire ou même s’il y a des plantes spécifiques qui y poussent.

Il y a en Israël quelques 22 millions de dounams (1 dounam = 1.000 m2 ou 0.1 hectare) de terres dont environ 10 millions sont désignées comme terres agricoles, et de ces 10 millions la moitié sont de fait utilisées pour l’agriculture aujourd’hui. Pour l’autre moitié, soit 5 millions de dounams, il y a donc une possibilité de voir leur désignation changer. Sachez donc que dans tous les cas, un investisseur qui prendra la peine de choisir judicieusement le terrain avec une aide professionnelle spécialisée dans l’achat de terrains agricoles, aura de bonnes chances de pouvoir faire un très joli bénéfice.

Restez au courant des nouvelles zone en voie d’urbanisation en cours d’achèvement auprès des communes. Contactez Israland