Les prix du logement ont baissé ces derniers mois, mais les jeunes couples ont encore du mal à réaliser le rêve d’acquérir une propriété, en particulier dans les zones de demande.
Malgré la maîtrise du taux de hausse des prix du logement, il est très difficile de trouver un appartement en Israël à vendre ou à louer à des prix défiant toute concurrence. Ceux qui ont du mal à faire face aux prix toujours élevés sur le marché devront probablement faire plusieurs compromis: habiter dans des zones moins recherchées, dans un petit appartement ou dans un immeuble ancien, voire négligé.
Ce sont des moments particulièrement difficiles pour les promoteurs immobiliers, qui ne sont pas définis comme éligibles selon les critères établis dans le plan du ”Mehir Lamishtaken”. Les prix du logement pour l’amélioration de l’habitation, selon toutes les mesures, ont continué d’augmenter même lorsque l’indice général du logement a baissé. Mais même les jeunes, les couples et les individus qui aimerait acquérir leur premier appartement dans le centre du pays ont peu de chances de réussir – les chances sont faibles d’environ 3% dans les loteries requises pour des projets de logement ou de location d’appartements. Même après avoir gagné, les gagnants sont obligés de lever des centaines de milliers de shekels en tant que capitaux propres.
Étant donné que l’État n’a pratiquement pas de terres dans les centres-villes, les personnes éligibles n’ont aucune chance d’obtenir des logements publics bon marché dans ces zones. Sous la pression des autorités locales et à leur initiative, la priorité est donnée aux habitants de la ville dans la réduction des projets gouvernementaux et de l’exclusivité en ce qui concerne les projets de construction réduite par les autorités locales.
Néanmoins, les gouvernements et surtout les villes ont intérêt à attirer les jeunes résidents dans leurs champs. Les jeunes améliorent l’image de la ville et stimulent l’industrie des loisirs. Pour cette raison, l’intérêt des autorités locales pour le logement des jeunes augmente. Par exemple, la municipalité de Tel-Aviv a déjà commercialisé 149 appartements dans le cadre d’un projet spécial de logements locatifs à bas prix. Selon la municipalité, dans les prochaines années, elle prévoit de commercialiser 2 600 autres appartements sous forme de loyer ou d’achats réduits.
Le projet est destiné aux résidents de la ville jusqu’à l’âge de 45 ans et les gagnants ont reçu des appartements au prix de 3 000 à 5 000 NIS par mois, ce qui est considéré comme un avantage de 50% par rapport au loyer sur le marché libre. Cependant, il semble que le projet de logement de la municipalité de Tel-Aviv soit destiné principalement à des fins politiques. Les chances de remporter l’appel d’offre sont de 1,5%, soit moins que toute autre loterie gouvernementale , et cela n’a certainement pas répondu à la forte demande des jeunes de vivre en ville.
Une version plus réussie de l’implication urbaine dans le logement abordable a récemment commencé à fonctionner à Kiryat Ono, l’une des villes les plus recherchées de la région de Dan. La municipalité de Kiryat Ono offre aux kablanim des droits de construction accrus en contrepartie de l’attribution de certains projets aux personnes éligibles, selon des critères déterminés par la ville. Par exemple, dans un projet de rénovation urbaine mené par Metzlawi, la société a reçu des droits de construction excédentaires en échange de 27 appartements au prix de 928 000 shekels pour deux chambres et jusqu’à un prix de 1,467 million pour penthouse. Les prix reflètent une réduction de 30% par rapport aux prix du marché. La demande pour les appartements devrait dépasser l’offre et les gagnants seront sélectionnés à la fin du mois.
Dormitories suitable for adult living
Many cities around the world are trying to undertake, in cooperation with municipal entities, to develop collective living systems:
Such cooperative residential buildings have already been established in major cities and are intended for young people who want to live in city centers but struggle to pay the high rent. Although the apartments are very small, most projects are located in the heart of high-demand areas. The problem is that, for example, a collective residential apartment in central London costs about $3,000 per month, a price that remains out of reach for the average young Briton.
Israeli entrepreneurs who have examined the possibility of establishing a housing cooperative project have found that the main obstacle is the lack of adequate construction and the difficulty in approving plans to transform a residential building into a cooperative building. The design and general construction of 15 m² apartments could quickly give rise to large slums, where young people live but also often disadvantaged families.
A few weeks ago, a Tel Aviv municipal official stated that the latter would be favorable to the limited planning of a cooperative housing structure in the city center. The municipality has also been able to identify a project currently under construction in the city center without interruption by the Azrieli group, but the company has not heard of city plans.
According to sources in the real estate sector, it is economically impossible to combine housing in commercial projects built on expensive land in the city center, and the cooperative housing model can only be used within the framework of urban renewal projects.
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Given the risks of earthquakes in Israel, construction from metal is much safer at all levels!
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